Conseil municipal du 11février 2010

Les enfants de l’école Jean Rostand ont bien de la chance : Monsieur TRICARD, adjoint aux finances, a annoncé lors de ce conseil que la cour de l’école Jean Rostand, « école chère à Madame BRIERE », adjointe au scolaire, allait être refaite.

Les enfants de l’école Marie Curie n’ont pas de chance : il n’y a pas d’élu pour lequel cette école est « chère ».

Pour mémoire, l’ancienne municipalité avait décidé de refaire les deux cours d’école en 2009/2010. Tous les parents d’élèves des deux fédérations trouvaient que l’une et l’autre étaient dangereuses !!


Villepreusiennes, Villepreusiens, dormez en paix. Le conseil municipal, en collaboration avec la police nationale, va installer des caméras de vidéo surveillance aux endroits jugés « à risque » : la Pointe à l’Ange, le Val Joyeux, la Haie Bergerie aux alentours de SHOPI etc…
Avec ce début de Big Brother, pas de danger que Villepreux ne devienne une de ces sinistres communes du 9-3 !!
N’oubliez pas de sourire, même si vous n’êtes pas d’accord sur l’utilisation de vos impôts, vous serez filmés bientôt !

Ajoutons que cette vidéo surveillance a un coût : 100000 €.

Lors du conseil municipal de janvier dernier, la réfection des courts de tennis a été évoquée, elle était évaluée à … 100000 €. Le conseil municipal n’a pas accédé à cette demande du Club de tennis, prétextant une reconfiguration profonde des terrains de sports dont l’échéance n’est pas encore connue. En attendant, les joueurs de tennis vont se voir priver de l’utilisation de certains courts devenus dangereux. Ils auront toujours la consolation de se savoir filmés !

Il faut cependant reconnaître un certain souci de la municipalité de sauvegarder les finances communales. En effet, à la proposition faite par l’opposition de faire un don pour Haïti, comme cela avait été fait par l’ancienne majorité pour plusieurs grandes causes à raison d’un euro par habitant, la municipalité a renvoyé les demandeurs vers les différentes organisations qui s’occupent de ces choses. Belle preuve de la volonté de maîtriser l’économie de la cité et, surtout, une nouvelle conception de la solidarité. A ceux qui se demandaient pourquoi la Maison du Droit et de la Solidarité était devenue la Maison de la Famille et des Associations, la municipalité vient de donner un début de réponse.