En effet pendant nos mandatures de 1995 à 2008, nous passions toutes nos décisions en délibérations pour que le conseil municipal se prononce en toute transparence : nous n’utilisions que rarement les décisions en dehors du conseil municipal (si nous avons présenté quelques décisions, c’était entre 3 et 5 par conseil municipal, voire pas du tout).
Pourquoi ? Parce que nous avions décidé de limiter le pouvoir du maire à des dépenses inférieures à 9000 euros et que tout devait être discuté.
Or depuis l’élection de l’équipe de monsieur Mirambeau, le conseil municipal s’est transformé en une chambre d’enregistrement des décisions prises par le maire seul, jusqu’à une hauteur de près de 900 000 euros, plafond qui oblige à un appel d’offres, et non plus à un marché négocié.
Ainsi le maire est passé de 7 à 9 conseils municipaux par an à 6 contenant en moyenne une dizaine de points … et dans le même temps, nous avons obtenu après âpre discussion que les décisions ne soient pas seulement lues lors du conseil mais que l’on en ait une trace écrite car à ce jour nous en sommes déjà à près de 80 décisions prises hors conseil municipal, hors de tout débat.
Et ce ne sont pas seulement des affaires courantes, ce sont plus de 400 000 euros pour un marché à plusieurs reprises, ce sont des tarifs des services communaux sans débat, ce sont des achats qui méritent discussion …
Il est tentant pour un maire de décider sans en référer au conseil et il peut le faire en utilisant les textes de lois qui le permettent …pourtant, il est malsain de diminuer le rôle du conseil municipal et des élus de la majorité comme de l’opposition en les privant de débat sur les sujets qui touchent à la vie des habitants.
C’est pourquoi, cette majorité n’a ni le sens de l’intérêt général ni celui de la démocratie … et c’est grave !
Michèle VALLADON
mardi 15 février 2011
VILLEPREUSIENS, VILLEPREUSIENNES, VOICI OU PASSE UNE PARTIE DE VOS IMPOTS !
Lors du dernier conseil municipal, le 17 février, il a été soumis aux élus une demande de protection du Maire.
Voici ce dont il s’agit : il y a quelques mois, Stéphane MIRAMBEAU a envoyé un courriel injurieux à Patrick BAIN, conseiller municipal de l’opposition. Il s’en est suivi un légitime dépôt de plainte et Stéphane MIRAMBEAU est donc appelé à comparaître.
Stéphane MIRAMBEAU entend faire supporter à la commune, donc aux contribuables, les frais d’avocat afférents à cette affaire purement privée.
Mise au vote, cette décision a été adoptée : 7 votes contre (l’opposition naturellement), 2 abstentions dans les rangs de la majorité (quand même !!!), et le reste « moutonnement » pour !!!!!!
A vous de juger, chers concitoyens !!!
Voici ce dont il s’agit : il y a quelques mois, Stéphane MIRAMBEAU a envoyé un courriel injurieux à Patrick BAIN, conseiller municipal de l’opposition. Il s’en est suivi un légitime dépôt de plainte et Stéphane MIRAMBEAU est donc appelé à comparaître.
Stéphane MIRAMBEAU entend faire supporter à la commune, donc aux contribuables, les frais d’avocat afférents à cette affaire purement privée.
Mise au vote, cette décision a été adoptée : 7 votes contre (l’opposition naturellement), 2 abstentions dans les rangs de la majorité (quand même !!!), et le reste « moutonnement » pour !!!!!!
A vous de juger, chers concitoyens !!!
vendredi 4 février 2011
En mémoire de Jacques ROHRBACHER
Nous reproduisons ici un premier texte lu par un ami de Jacques lors de ses obsèques et l'hommage rendu à Jacques Rohbacher par Michèle Valladon.
Aujourd’hui nous entourons la famille de Jacques et nous accompagnons un homme, un homme tout simple, mais nous accompagnons aussi un « personnage » et nous accompagnons un chrétien.
Un homme tout simple, avec d’abord sa famille qui compte beaucoup pour lui, famille proche comme famille élargie. Une vie simple mais active, parfois douloureuse : A 36 ans, quitter la terre d’Algérie (où lui et Marguerite sont nés), en catastrophe, sans bagages, sans point de chute, mais avec 2 jeunes enfants, c’est dur.
Il a une vie professionnelle riche - et enthousiaste comme tout ce que fait Jacques - à l’office national des céréales puis dans une entreprise privée, en Algérie, au Mali puis en France.
Arrivé à Villepreux en 1963, il s’insère discrètement dans son quartier de la Gandonnerie et dans sa paroisse. Là, avec Marguerite, ils lient de solides amitiés qui leur seront précieuses à l’arrivée d’Olivier au printemps 1964.
Nombreux sont ici ceux qui savent la chaleur des repas avec famille et amis, repas qu’il aime préparer lui-même (avec l’aide d’Olivier bien sûr) ou qu’il aime à partager chez des amis. Il ne prend jamais les choses au tragique, il aime plaisanter et taquiner, il ne se prend pas au sérieux. Un homme simple.
Mais il est aussi un « personnage ». Et s’il est devenu, presque malgré lui, un personnage, c’est principalement à Olivier qu’il le doit. En effet l’irruption du handicap dans sa famille est un véritable choc. Et il va se lancer dans le combat de sa vie pour ces personnes différentes. Dans les années 60 l’accueil des personnes en situation de handicap est encore balbutiant, et pour l’essentiel limité aux enfants. Une association vient de se lancer à Villepreux avec un petit CAT. Jacques la rejoint bien vite et en deviendra l’animateur pendant près de 30 ans.
Il estime que la place de personnes handicapées devenues adultes n’est pas forcément dans leur famille : bon nombre d’entre eux espèrent avoir un « chez soi », bien à eux. Aussi, il mettra au service de l’association ses compétences pour construire le foyer du Prieuré.
Devenu président de l’association, il estime que travailler est essentiel pour tout un chacun handicapé ou non, pour gagner er garder sa dignité : alors il développe largement le CAT ; et le fait même reconstruire car il pense que des travailleurs ont droit à cadre fonctionnel, esthétique et harmonieux.
Pour le logement il comprend bien que bon nombre de résidents souhaiteraient avoir leur appartement, comme leur grande sœur ou leur petit frère, plutôt que de vivre en foyer – quand c’est possible. Le Foyer Le Prieuré devient Résidence du Prieuré et s’élargit alors progressivement avec 13 appartements répartis dans toute la ville.
Mais Jacques voit toujours plus loin : comme d’habitude il est déjà à l’étape suivante ! (et c’est quelque fois fatigant pour son entourage immédiat). Il voit les résidents vieillir, et avec d’autres associations, il lance le projet de la Thébaïde pour accueillir ceux qui ne pourront plus travailler et auront besoin d’un environnement mieux adapté, y compris sur le plan médical. Et c’est la création du foyer Camille Claudel.
Tout ceci avec pas mal d’éclats de voix, de batailles avec les financeurs, de reproches pour ce qui ne va pas assez vite, mais une fougue, un enthousiasme et une force de conviction étonnants.
Si Jacques est moins à l’aise, et parfois même maladroit, dans le rythme de croisière quand il faut faire vivre le quotidien et partager avec une équipe, il est vraiment un homme de projets, pour lesquels il sait rassembler. C’est ainsi qu’est né ce personnage de bâtisseur.
Bâtisseur, il le sera encore quand il rassemblera une large équipe et qu’il deviendra maire de Villepreux. Mais nous en reparlerons tout à l’heure.
Enfin nous accompagnons un chrétien.
Non, Jacques n’était pas très versé dans l’exégèse ou l’approfondissement de la foi – c’est plutôt le champ privilégié de Marguerite – mais quand il entend St Paul proclamer « Quand bien même je déplacerais les montagnes, s’il me manque l’amour, je ne suis rien, je ne suis qu’une cymbale retentissante », il est aussitôt en phase.
Quand il entend dans l’Evangile que le Père accueillera avec les mêmes égards ses 2 fils, pourtant avec des parcours bien différents, il retrouve son combat sur la terre pour la justice, pour accueillir le plus faible.
Non il n’est pas non plus passionné par les grands débats à l’intérieur de l’Eglise mais il est fidèle dans l’église locale, participant volontiers aux grands évènements de sa paroisse. Il est très reconnaissant envers tous les prêtres qui guident la communauté.
Chacun ici sait que Jacques était très pudique pour afficher des sentiments, mais ceux qui l’ont approché tout récemment savent comme il était confiant dans la tendresse de Dieu.
Il était prêt pour son grand passage qui nous rassemble aujourd’hui.
******************************************************************************
Hommage de Michèle Valladon
Ce mercredi 30 décembre 2010, alors qu’avaient lieu les obsèques de Janine Thomas, maire des Clayes-sous-bois pendant 27 ans, notre ami Jacques Rohrbacher est décédé après de longs mois de soins et de souffrances.
Il fut maire de Villepreux de 1995 à 1998, me laissant la place comme il s’y était engagé lors de la campagne municipale…
Il nous a permis de gagner la mairie après 12 ans de droite qui s’est finalement déchirée en 1995 et a conduit la liste de gauche « Démocratie et solidarité » en tête pour diriger la commune.
Avec sa rigueur de chef d’entreprise et d’honnête homme, il s’est mis au service de la commune avec son humour et sa générosité qui tempéraient sa force de caractère un peu brutale pour qui ne le connaissait pas mais c’était aussi sa force, son entêtement quand il pensait avoir raison dans le combat qu’il menait, notamment au service des personnes en situation de handicap!
Villepreux lui doit beaucoup, il a changé la ville en refaisant le centre ville dès 1996 et en écoutant la population qui ne voulait pas du projet du Trianon qui augmentait la population et la circulation de façon démesurée et l’histoire se répète avec la droite revenue aux affaires avec cette arrogance et cette certitude que, seule , elle, détient la vérité!
Bref, jusqu’au bout il s’est battu pour que les personnes en situation de handicap soient prises en compte dans leur entière citoyenneté, au travail avec le CAT louis Lumière, le foyer du Prieuré pour héberger les travailleurs handicapés, puis la Thébaïde pour héberger les personnes handicapées vieillissantes puis la structure complémentaire médicalisable de 22 lits en 2007 !
Villepreux est exemplaire dans son accueil pour les personnes défavorisées ou en difficulté. Jacques Rohrbacher nous a montré la voie en nous guidant à la tête de la commune, en redressant la barre des finances communales, en mettant en place le tri sélectif, en améliorant la communication envers la population, en acceptant la mise en place d’un conseil municipal des jeunes…
Il achevait l’éditorial du magazine nouvelle génération n°1 en disant : « Que cette année nouvelle nous apporte dans la grisaille que nous connaissons tous, la satisfaction de nos désirs personnels et, au plan communal, qu’elle renforce nos solidarités pour arriver ensemble à construire, dans la paix, une ville harmonieuse et tolérante » (janvier 1997)
Pour le nouvel an 1998, Jacques Rorhbacher écrivait :
« Au moment où l’incivisme , le doute et l’exclusion grandissent un peu partout, marquant ainsi la difficulté que certains rencontrent à vivre ensemble en harmonie, je souhaite pour 1998 que nous sachions donner de notre ville l’image de sa réalité collective faite de richesse, d’invention et surtout de solidarité.
Pour y arriver, il nous faudra encore et toujours plus nous parler, nous expliquer, plutôt que de développer une démagogie stérile, assumer nos convictions et avant tout les vivre ensemble dans le respect mutuel des personnes, de leurs droits et de leur différence acceptée.
C’est ainsi que nous imaginerons pour nos enfants le Villepreux de demain! »
Ainsi parlait Jacques RORHBACHER, maire de Villepreux, Homme de tolérance et de talent.
.
Aujourd’hui nous entourons la famille de Jacques et nous accompagnons un homme, un homme tout simple, mais nous accompagnons aussi un « personnage » et nous accompagnons un chrétien.
Un homme tout simple, avec d’abord sa famille qui compte beaucoup pour lui, famille proche comme famille élargie. Une vie simple mais active, parfois douloureuse : A 36 ans, quitter la terre d’Algérie (où lui et Marguerite sont nés), en catastrophe, sans bagages, sans point de chute, mais avec 2 jeunes enfants, c’est dur.
Il a une vie professionnelle riche - et enthousiaste comme tout ce que fait Jacques - à l’office national des céréales puis dans une entreprise privée, en Algérie, au Mali puis en France.
Arrivé à Villepreux en 1963, il s’insère discrètement dans son quartier de la Gandonnerie et dans sa paroisse. Là, avec Marguerite, ils lient de solides amitiés qui leur seront précieuses à l’arrivée d’Olivier au printemps 1964.
Nombreux sont ici ceux qui savent la chaleur des repas avec famille et amis, repas qu’il aime préparer lui-même (avec l’aide d’Olivier bien sûr) ou qu’il aime à partager chez des amis. Il ne prend jamais les choses au tragique, il aime plaisanter et taquiner, il ne se prend pas au sérieux. Un homme simple.
Mais il est aussi un « personnage ». Et s’il est devenu, presque malgré lui, un personnage, c’est principalement à Olivier qu’il le doit. En effet l’irruption du handicap dans sa famille est un véritable choc. Et il va se lancer dans le combat de sa vie pour ces personnes différentes. Dans les années 60 l’accueil des personnes en situation de handicap est encore balbutiant, et pour l’essentiel limité aux enfants. Une association vient de se lancer à Villepreux avec un petit CAT. Jacques la rejoint bien vite et en deviendra l’animateur pendant près de 30 ans.
Il estime que la place de personnes handicapées devenues adultes n’est pas forcément dans leur famille : bon nombre d’entre eux espèrent avoir un « chez soi », bien à eux. Aussi, il mettra au service de l’association ses compétences pour construire le foyer du Prieuré.
Devenu président de l’association, il estime que travailler est essentiel pour tout un chacun handicapé ou non, pour gagner er garder sa dignité : alors il développe largement le CAT ; et le fait même reconstruire car il pense que des travailleurs ont droit à cadre fonctionnel, esthétique et harmonieux.
Pour le logement il comprend bien que bon nombre de résidents souhaiteraient avoir leur appartement, comme leur grande sœur ou leur petit frère, plutôt que de vivre en foyer – quand c’est possible. Le Foyer Le Prieuré devient Résidence du Prieuré et s’élargit alors progressivement avec 13 appartements répartis dans toute la ville.
Mais Jacques voit toujours plus loin : comme d’habitude il est déjà à l’étape suivante ! (et c’est quelque fois fatigant pour son entourage immédiat). Il voit les résidents vieillir, et avec d’autres associations, il lance le projet de la Thébaïde pour accueillir ceux qui ne pourront plus travailler et auront besoin d’un environnement mieux adapté, y compris sur le plan médical. Et c’est la création du foyer Camille Claudel.
Tout ceci avec pas mal d’éclats de voix, de batailles avec les financeurs, de reproches pour ce qui ne va pas assez vite, mais une fougue, un enthousiasme et une force de conviction étonnants.
Si Jacques est moins à l’aise, et parfois même maladroit, dans le rythme de croisière quand il faut faire vivre le quotidien et partager avec une équipe, il est vraiment un homme de projets, pour lesquels il sait rassembler. C’est ainsi qu’est né ce personnage de bâtisseur.
Bâtisseur, il le sera encore quand il rassemblera une large équipe et qu’il deviendra maire de Villepreux. Mais nous en reparlerons tout à l’heure.
Enfin nous accompagnons un chrétien.
Non, Jacques n’était pas très versé dans l’exégèse ou l’approfondissement de la foi – c’est plutôt le champ privilégié de Marguerite – mais quand il entend St Paul proclamer « Quand bien même je déplacerais les montagnes, s’il me manque l’amour, je ne suis rien, je ne suis qu’une cymbale retentissante », il est aussitôt en phase.
Quand il entend dans l’Evangile que le Père accueillera avec les mêmes égards ses 2 fils, pourtant avec des parcours bien différents, il retrouve son combat sur la terre pour la justice, pour accueillir le plus faible.
Non il n’est pas non plus passionné par les grands débats à l’intérieur de l’Eglise mais il est fidèle dans l’église locale, participant volontiers aux grands évènements de sa paroisse. Il est très reconnaissant envers tous les prêtres qui guident la communauté.
Chacun ici sait que Jacques était très pudique pour afficher des sentiments, mais ceux qui l’ont approché tout récemment savent comme il était confiant dans la tendresse de Dieu.
Il était prêt pour son grand passage qui nous rassemble aujourd’hui.
******************************************************************************
Hommage de Michèle Valladon
Ce mercredi 30 décembre 2010, alors qu’avaient lieu les obsèques de Janine Thomas, maire des Clayes-sous-bois pendant 27 ans, notre ami Jacques Rohrbacher est décédé après de longs mois de soins et de souffrances.
Il fut maire de Villepreux de 1995 à 1998, me laissant la place comme il s’y était engagé lors de la campagne municipale…
Il nous a permis de gagner la mairie après 12 ans de droite qui s’est finalement déchirée en 1995 et a conduit la liste de gauche « Démocratie et solidarité » en tête pour diriger la commune.
Avec sa rigueur de chef d’entreprise et d’honnête homme, il s’est mis au service de la commune avec son humour et sa générosité qui tempéraient sa force de caractère un peu brutale pour qui ne le connaissait pas mais c’était aussi sa force, son entêtement quand il pensait avoir raison dans le combat qu’il menait, notamment au service des personnes en situation de handicap!
Villepreux lui doit beaucoup, il a changé la ville en refaisant le centre ville dès 1996 et en écoutant la population qui ne voulait pas du projet du Trianon qui augmentait la population et la circulation de façon démesurée et l’histoire se répète avec la droite revenue aux affaires avec cette arrogance et cette certitude que, seule , elle, détient la vérité!
Bref, jusqu’au bout il s’est battu pour que les personnes en situation de handicap soient prises en compte dans leur entière citoyenneté, au travail avec le CAT louis Lumière, le foyer du Prieuré pour héberger les travailleurs handicapés, puis la Thébaïde pour héberger les personnes handicapées vieillissantes puis la structure complémentaire médicalisable de 22 lits en 2007 !
Villepreux est exemplaire dans son accueil pour les personnes défavorisées ou en difficulté. Jacques Rohrbacher nous a montré la voie en nous guidant à la tête de la commune, en redressant la barre des finances communales, en mettant en place le tri sélectif, en améliorant la communication envers la population, en acceptant la mise en place d’un conseil municipal des jeunes…
Il achevait l’éditorial du magazine nouvelle génération n°1 en disant : « Que cette année nouvelle nous apporte dans la grisaille que nous connaissons tous, la satisfaction de nos désirs personnels et, au plan communal, qu’elle renforce nos solidarités pour arriver ensemble à construire, dans la paix, une ville harmonieuse et tolérante » (janvier 1997)
Pour le nouvel an 1998, Jacques Rorhbacher écrivait :
« Au moment où l’incivisme , le doute et l’exclusion grandissent un peu partout, marquant ainsi la difficulté que certains rencontrent à vivre ensemble en harmonie, je souhaite pour 1998 que nous sachions donner de notre ville l’image de sa réalité collective faite de richesse, d’invention et surtout de solidarité.
Pour y arriver, il nous faudra encore et toujours plus nous parler, nous expliquer, plutôt que de développer une démagogie stérile, assumer nos convictions et avant tout les vivre ensemble dans le respect mutuel des personnes, de leurs droits et de leur différence acceptée.
C’est ainsi que nous imaginerons pour nos enfants le Villepreux de demain! »
Ainsi parlait Jacques RORHBACHER, maire de Villepreux, Homme de tolérance et de talent.
.
Inscription à :
Articles (Atom)